B i o g r a p h ie
Pascale Valenta se définit comme une joueuse de voix.
Elle en joue au même titre qu’une instrumentiste, et s’amuse avec une grande liberté à l’adapter aux genres musicaux de son choix, grâce à sa tessiture naturelle de 3 octaves jusqu'au contre ut (+ sifflet).
Elle découvre le potentiel de sa voix par hasard, à l’âge de 17 ans et pratique alors le rock, le jazz et le funk dans diverses formations de l’île de France, partageant l’affiche de grands noms tels que Sylvain Beuf, Larry Shneider et Daniel Humair.
Douze années d’études de chant classique au conservatoire Iannis-Xenakis d’Evry lui permettent d’élargir sa tessiture et de découvrir de nouvelles sources d’inspiration pour sa discipline favorite, l’improvisation. Le lyrique entre dans sa gorge et s’y niche délicieusement. Debussy, Ravel s’immiscent dans le groove et les néons de l’usine le jour et de l’école le soir.
Elle finit par quitter l’usine, enlevée par la célèbre compagnie «les Arts Sauts» où durant 11 ans elle compose ses propres mélodies pour des trapézistes qui la font chanter à 15 mètres de haut dans toutes les capitales du monde. La diva des hauteurs n'hésite pas à sauter au filet à la fin de chaque représentation.
Elle regagne la terre ferme, dans les Cevennes, où elle crée plusieurs spectacles musicaux et pluridisciplinaires qui la conduisent à ouvrir un Petit Théâtre dans son village.
P r e s s e
"Dotée d'une voix extrêmement puissante et d'une large tessiture, Pascale Valenta passe du grave du blues le plus noir aux trilles aigües d'une soprano classique, elle chante la peine en espagnol, la nostalgie en russe, le spleen en anglais et toutes les joies du monde".
Midi Libre
“...on se laisse entraîner par la sensuelle et enjôleuse voix de sirène de Pascale Valenta .”
Le Journal des Spectacles
"Si on décolle parfois aussi haut, c'est grâce à la voix d'une diva baroque meringuée, Pascale Valenta dont les démonstrations de puissance enivrent rapidement."
La Provence
“Au son du bel canto techno d'une chanteuse haut perchée, les Arts Sauts embrassent l'air jusqu'à l'ivresse"
Télérama